Aujourd’hui, je laisse la place à Isabelle Yvelin, du blog https://optimiser-sa-vie.com qui nous présente une technique pour mieux connaître son enfant et l’aider à découvrir sa meilleure façon d’apprendre : la morphopsychologie. Il s’agit de lire sur les traits du visage de son enfant quelle est sa façon d’apprendre. Dit comme ça, ça peut paraître étrange. Lisez la suite, c’est passionnant !

 

La meilleure façon d’apprendre de votre enfant, c’est la sienne !

Bonjour à tous, en lisant cet article vous allez découvrir pourquoi la meilleure façon d’apprendre de votre enfant, c’est la sienne.

Comme beaucoup de parents, vous pensez que votre enfant fonctionne comme vous. Tout naturellement, on a tendance à proposé à notre enfant ce qui a marché pour nous, et là, ça fait FLOP ! Parce qu’on ne peut pas dupliquer notre manière d’apprendre.

C’est comme cette poule qui avait couvé des œufs de cane. Elle croyait dur comme fer que ses petits étaient des poussins.  Elle déployait toute son énergie pour les protéger, notamment en les empêchant d’aller vers l’eau. Son instinct de poule lui hurlait que les poussins allaient se noyer. Ce qu’elle ignorait, c’est que  la nature profonde des canetons, c’est de nager ! Et contre ça, elle ne pouvait rien faire.

Chaque individu a une manière d’apprendre, de mémoriser et d’assimiler qui lui est propre.

L’avenir de votre enfant vous préoccupe.

Comme de nombreux parents, l’avenir de votre enfant vous préoccupe et vous avez envie qu’il acquiert un maximum de connaissances pour aborder l’avenir. Il s’ensuit que bien malgré vous,  vous lui mettez la pression. L’heure des devoirs sonne comme un gong qui annonce un nouveau round sur le ring : Papa 80 kg contre Jérémy poids plume.

Pourtant, apprendre facilement et avec plaisir, votre enfant en rêve, croyez moi ! Il essaie de faire ce qu’il peut  pour vous faire plaisir, et uniquement pour ça. Pour autant, il n’y arrive pas à chaque fois et souvent, il a l’impression de vous décevoir.

De votre côté, devant son air de chien battu, vous vous sentez un peu coupable. Et en même temps vous êtes découragé parce que parfois, il  semble vraiment peu impliqué. Et maintenant, si je vous disais qu’il existe une méthode infaillible pour que votre enfant apprenne facilement et avec plaisir ? Vous auriez envie de la connaître pas vrai ?

Et bien je vous le dit, cette méthode existe : c’est la morphopsychologie. Apprenez à lire sur son visage et vous découvrirez que la meilleure façon d’apprendre de votre enfant, c’est la sienne.

 

Envie d’en savoir plus sur la morphopsychologie ?

La morphopsychologie est une méthode d’analyse de personnalité qui établit une corrélation entre la forme du visage et la personnalité. La pratique de la morphopsychologie s’exécute sous forme de “portrait” réalisé par un praticien, le morphopsychologue. Il fait une  description  détaillée de la personnalité et révèle à la personne venue le consulter son :

  • moteur de vie (cérébral, relationnel ou physique)
  • motivations inconscientes
  • aptitudes
  • comportements instinctifs
  • personnalité authentique

Le sujet n’a pas besoin de répondre à des questions ou de remplir un questionnaire. Le résultat de l’analyse n’est donc pas influencé par son intervention consciente. Tous les visages peuvent faire l’objet d’un portrait sans distinction de sexe, d’âge, d’origine ou de culture.

 

Sur quoi s’appuie la morphopsychologie ?

La morphopsychologie est fondée sur une loi biologique universelle, la loi de  Dilatation/Rétraction . En voici les principes en quelques lignes. Selon la loi dilatation/rétraction, tout organisme vivant (animal, végétal ou minéral) placé dans un milieu favorable à la vie, se développe et s’épanouit librement.  La force vitale s’accumule. C’est la manifestation de l’instinct d’expansion qui arrondit et élargit les formes (Dilatation).

A l’inverse, placé dans un milieu hostile, dans lequel il doit lutter pour survivre, l’organisme se dessèche, se replie et se recroqueville. C’est la manifestation de l’instinct de conservation qui amenuise, aplatit et creuse les formes (Rétraction)La rétraction est une réaction de défense.

Ces deux mouvements vitaux (dilatation et rétraction) sont actifs en chacun de nous et la plupart du temps l’un des deux prédomine. Sur le visage les deux mouvements vitaux s’objectivent par des bosses (dilatation) et des creux  (rétraction).

 

Morphopsychologie : Comment ça marche ?

Grâce à cette loi qui s’observe dès l’enfance, il est possible d’identifier la tendance qui domine la personnalité grâce à la forme du visage.

Le type extraverti

Certains êtres se développent en Expansion. La dilatation arrondit leur visage (qui est aussi haut que large) qui indique que leur personnalité est majoritairement de type Extraverti. Ils se caractérisent par :

  • grande réserve de force vitale
  • large ouverture au monde
  • adaptation facile
  • sociabilité sans réserve
  • sens pratique
  • réceptivité

Chez d’autres, c’est l’instinct de conservation qui domine selon 3 degrés de rétraction.

1er degré : rétraction dynamisante : le type Dynamique

Le visage s’allonge, les côtés s’aplatissent et les zones réceptives (yeux – nez – bouche) se portent en avant, entraînant le front qui s’incline.

  • large ouverture au monde
  • adaptation facile (au milieu choisi)
  • sociabilité élective
  • impulsivité, spontanéité
  • activité incessante
  • besoin d’indépendance

2ème degré : rétraction intériorisante : le type Réfléchi

Le visage recule comme s’il avait été heurté de face. Les zones réceptives entraînées en arrière, s’abritent ou s’enfoncent dans le visage. Le front et le profil se redressent.

  • tempérament calme et posé
  • adaptation souple à un milieu choisi
  • hiérarchisation ses relations
  • action réfléchie
  • maîtrise de soi
  • sens du devoir et des responsabilités

3ème degré : rétraction extrême : Le type Hypersensible

Le visage est étroit, l’ampleur du front est très ample, par rapport à l’étroitesse de la mâchoire et au menton en retrait.

  • faible réserve d’énergie vitale
  • hypersensibilité de défense (tout le heurte)
  • sélectivité, recherche de qualité
  • besoin de solitude
  • adaptation difficile
  • peu de contacts

Vous l’aurez compris, ça c’est la “grosse maille” c’est-à-dire le tout premier filtre qui permet de commencer à “lire” un visage. Ensuite, au fur et à mesure de l’observation du visage, les caractéristiques comportementales et psychologiques s’affinent. 

Voilà sur la méthode, à présent passons aux exemples concrets. Grâce aux portraits d’enfants qui suivent, il vous sera facile de reconnaître la tendance  majoritaire du votre et d’en déduire sa façon d’apprendre.

 

La meilleure façon d’apprendre – L’enfant de type Extraverti

Morphologiquement :

  • Son  teint est coloré.
  • Le visage est aussi haut que large de forme ronde ou carrée.
  • Le cou et la nuque sont solides.
  • C’est un visage qui est fait de courbes arrondies.  Les joues sont rebondies.
  • Grands, bien ouverts, et écartés l’un de l’autre les yeux sont  à “fleur de visage”.
  • Le nez est plus ou moins retroussé et les narines ouvertes sont bien visibles de face.
  • La bouche est grande et souvent entrouverte. Les lèvres sont pleines et tendres et découvrent les dents dans le sourire.

Psychologiquement :

L’enfant extraverti a besoin de s’exprimer et de se dépenser. De caractère souple, il est facile à vivre.  Toujours de bonne humeur, il aime rendre service  et s’élève facilement. Doté d’un grand sens pratique, son monde est celui des réalités matérielles.

C’est un sensoriel (perception du monde par les sens) qui s’imprègne sans réserve de toutes les influences du milieu de vie. Docile et affectueux, il se montre aimable avec tout le monde : il n’est pas craintif. Il a besoin d’être entouré car il n’aime pas rester seul. Son besoin de reconnaissance fait de lui un bon élève par désir de plaire à ses parents et à ses maîtres.

Sa manière d’apprendre :

Sa grande réceptivité  (emmagasinement passif des données) lui confère une mémoire d’assimilation facile et étendue.  Il apprend donc facilement et de bonne grâce les notions pratiques, les données concrètes, les choses qu’il a vues et manipulées. Par conséquent il apprendra aisément les mots, les chiffres, les faits, les dates… Il retient toujours mieux quand ce qu’il apprend est immédiatement utile. Votre enfant comprend par l’intuition et la sensation. S’il a manipulé une fois un objet, il en connaît les secrets, il comprend mieux les démonstrations que les explications.

Ses limites :

En revanche, lorsqu’il doit raisonner, prévoir, user de  logique ou faire des déductions, son intérêt chute et il plafonne. S’il ne comprend pas à quoi lui sert d’apprendre telle ou telle donnée, l’ennui prend le dessus et il se laisse aller.

Mes conseils pour l’aider  :

Soyez inventif : servez-vous des informations qui précèdent pour trouver des moyens d’éveiller son intérêt. Il est à l’aise avec la matière et aime se servir de ses mains, alors utilisez les sensations physiques pour l’aider  à comprendre les choses.
Par ex : servez-vous d’une recette de cuisine pour lui faire comprendre les proportions. Emmenez le dans la nature pour observer et rendre concrètes les leçons de SVT.  Stimulez ses sens en utilisant le dessin et les couleurs (mind mapping)… Montrez lui les choses plutôt que de les lui expliquer. Par exemple, pour lui expliquer le diamètre, apprenez lui à changer un pneu sur son vélo ainsi il aura l’application concrète. Son monde est celui des réalités matérielles et tangibles, soit, alors pour  éveiller son intérêt, démontrez-lui l’utilité pratique de ce qu’il apprend.

Jouez à :  “à quoi ça sert”. Par exemple : “à quoi ça sert de lire” faites le chercher et encouragez. S’il sèche prenez les devant “...quand on sait lire, on peut trouver son chemin, lire une recette de cuisine, une ordonnance, un mode d’emploi et aussi des histoires passionnantes…”

Votre enfant aime être entouré, trouvez un copain ou une copine pour qu’ils apprennent ensemble. Enfin, ne lui faites rien faire qui ne soit à sa portée, de cette manière il réussira tout ce qu’il entreprendra et s’en sentira valorisé. Vous voilà enfin sur la même longueur d’onde. Constatez combien il est content et à quel point apprendre est devenu simple et amusant.

La meilleure façon d’apprendre – L’enfant de type Dynamique

Morphologiquement :

  • Le visage est allongé, les pommettes sont saillantes, la racine du nez est mince et les yeux rapprochés.
  • Le regard est vif et malicieux.
  • Les joues sont moins rondes et les muscles saillent sous des chairs fermes.
  • De profil le front est oblique, le nez et la bouche forment un bloc qui s’avance, l’oreille est oblique.

Psychologiquement :

Chez cet enfant de type Dynamique, l’activité prédomine, il a besoin de mouvement, d’espace et d’indépendance. Souple et débrouillard, il est moins docile que l’enfant Extraverti. En toute circonstance, il obéit à son premier élan ; il est spontané et même impulsif. Plus sélectif que l’enfant Extraverti, sa souple sociabilité est subordonnée à ses choix. Il aime être en contact avec la nature, dehors, au grand air. Les espaces confinés ne lui valent rien de bon. Toujours en mouvement, rester immobile ou attendre est pour lui une véritable souffrance. C’est un leader, qui aime relever des défis et gagner, mais toujours avec fairplay.

Sa manière d’apprendre :

Sa manière d’apprendre passe par l’expérimentation, loin des livres. C’est en forgeant… L’enfant de type Dynamique est  un sensoriel qui comprend l’utilité des choses par instinct. Sa perception du monde passe par les sens : ce qu’il voit, ce qu’il entend  et ce qu’on lui fait faire. Il retient bien ce qui s’apprend vite, car vivacité est sa marque de fabrique : il pense vite, il décide vite et il réalise vite. Les notions concrètes sont bien assimilées,  mais la théorie ne l’intéresse pas du tout. Tout comme l’enfant Extraverti,  ce qui lui importe c’est la valeur d’utilité des choses. Il est attiré par ce qui est nouveau, attrayant et insolite. Le futur et le progrès l’intéressent au plus haut point.

Ses limites :

Chaque caractéristique de la personnalité à son aspect positif et négatif. En cela, ce qui limite cet enfant est son impatience, son incapacité à se retenir d’agir et sa disposition à se laisser distraire quand un sujet ne l’intéresse pas.

Mes conseils pour l’aider :

Donnez lui de la latitude. Puisque c’est dans l’action qu’il s’épanouit le plus, qu’il éprouve ses plus grandes satisfactions et ses plus grandes joies, utilisez ça ! Entrecoupez les devoirs de pauses “action” car rester assis trop longtemps est contre productif. Utilisez son goût du défi, faites des concours avec lui, inventez des jeux de pistes avec des énigmes à résoudre.  Puisqu’il apprend en faisant, autorisez le à démonter des objets. Intéressez- le à une activité manuelle que vous ferez ensemble. Ainsi en apprenant à maîtriser le geste, il apprendra à maîtriser ses impulsions. Introduisez de la nouveauté dans la manière d’aborder les leçons : mind mapping, images mentales, tables de rappel… Son amour de la nature et des animaux peut l’aider à s’intéresser à des notions générales. Par exemple pour “l’organisation d’une société” proposez lui d’observer une fourmilière.

Comme disait Louis Corman : “Cette période où il ne peut pas faire autrement que d’être impulsif n’est que provisoire et au bout de quelque temps, la maîtrise de soi, la raison naissante viendra tempérer ce tempérament turbulent”.

 

La meilleure façon d’apprendre – L’enfant de type Réfléchi

Morphologiquement :

  • Le regard est appuyé.
  • Le front est droit, les yeux sont abrités ou enfoncés dans l’orbite et la bouche est bien close.
  • Le profil est droit.

Psychologiquement :

En toute chose l’enfant de type Réfléchi fait valoir son pouvoir de choix. Facile à éduquer, il  se règle de lui-même,  est autonome et a le sens des responsabilités. Il fait preuve de maturité et de pondération. Calme et tranquille, il observe ce qui se passe autour de lui avec recul et attention. Il réagit d’instinct aux évènements, mais il sait se retenir d’agir. Ainsi entre la perception et la décision d’agir, il se donne toujours un temps de réflexion plus ou moins long. C’est un enfant volontaire,  qui sait ce qu’il veut. Sa volonté est calme mais persévérante. 

Sa manière d’apprendre :

L’enfant de type réfléchi n’assimile que ce qu’il a compris. et de préférence ce qu’il a choisi. Il a le profil de l’autodidacte. Remettant “à sa main” ce qu’il apprend, il ne retient jamais exactement ce qu’on lui a appris. Le par cœur n’est pas sa méthode de prédilection. Quand il s’engage dans une voie, il va jusqu’au bout. Il approfondit tout ce qui l’intéresse et est capable de concentrer son attention pendant de longs moments.

Ses limites :

Très ou trop sérieux, il peut parfois “oublier” de mener sa vie d’enfant. Il a une volonté qui se heurte, il peut se buter surtout si l’on tente de le détourner du chemin qu’il s’est choisi.

Mes conseils pour l’aider :

Sa façon d’apprendre, je dirais qu’il la connaît et l’applique intuitivement. Vous n’avez probablement pas besoin d’être derrière lui pour qu’il fasse ses devoirs ou  qu’il révise avant un contrôle. Évitez autant que possible  de vous heurter quand il s’oppose. Préférez utiliser la raison, vous obtiendrez beaucoup de lui. C’est un enfant méthodique et organisé aussi, vous pourrez l’aidez à édifier ses propres règles de fonctionnement.

Aidez-le à accepter ce qu’il ne comprend pas. Assurez-vous qu’il se détende, qu’il joue vraiment (pas seulement qu’il lise !) car sa maturité peut faire oublier qu’il n’est encore qu’un enfant.

 

La meilleure façon d’apprendre –  L’enfant de type hypersensible*

*Hypersensible est à comprendre ici, au sens de réaction vive au moindre manquement, au moindre heurt et à la moindre contrariété. Cette sensibilité de défense se manifeste par une rupture de contact et un repli sur soi.

Morphologiquement :

  • C’est un enfant chétif, fragile dont l’expression est sérieuse pour son âge.
  • L’ampleur du front contraste avec l’amenuisement de la mâchoire.
  • Le regard est vague et rêveur.
  • Les yeux sont bien écartés et la paupière supérieure s’abaisse légèrement sur l’œil, comme un rideau.
  • Les récepteurs sensoriels (yeux, nez, bouche) sont petits, abrités ou fermés.

Psychologiquement :

L’enfant de type Hypersensible préfère la solitude et le calme à la société. Peu sociable, sa compagnie préférée est celle des livres ou de son PC. Quand il a un copain, il est assez exclusif et peut montrer un attachement jaloux. Il fuit tout ce qu’il ne connaît pas et n’aime pas la nouveauté. La routine des habitudes le rassure. Il fatigue vite et a besoin de repos (manque de réserve de force vitale). N’aimant  ni le mouvement, ni parler, ni jouer avec les autres et ni sortir, il vit replié sur lui-même.

Pour s’épanouir, il a absolument besoin d’un milieu d’élection fait d’influences et de personnes triées sur le volet. En dehors de ce milieu, il rompt tout contact. Il a également besoin d’un milieu de protection (les parents) pour éliminer les éléments nocifs à son développement (doser chaque activité pour éviter qu’il ne se fatigue ou ne tombe malade).

Sa manière d’apprendre :

Apprendre est difficile pour lui car le contexte joue un rôle capital. Pour apprendre facilement il faut que rien ne le contrarie, que personne ne le rebute, que les conditions soient favorables. S’il est heurté par quoi que ce soit, il se ferme et ne peut apprendre de manière efficace. Sa capacité d’assimilation est très étendue, à condition que le sujet l’intéresse et si rien ne le rebute. Sinon il s’absorbe dans ses pensées et trouve un refuge dans ses rêveries. Son intelligence est ouverte à beaucoup de données, mais il a des domaines privilégiés qu’il aime approfondir : c’est un “spécialiste”. Son savoir est solide et il a une très grande imagination.

Ses limites :

Souvent distrait du moment présent par ses pensées intérieures, sa mémoire est “à trous”. Il a tendance à privilégier ses idées personnelles à ce qui vient de l’extérieur. A la moindre erreur, il se paralyse et rentre en lui-même et à la moindre contrariété, il rompt le contact et se réfugie dans ses pensées. Peu de sens pratique et difficultés pour réaliser ce que son imagination a élaboré.

Mes conseils pour l’aider :

Si votre enfant est de type hypersensible, il est important que vous ayez la sagesse de ne pas exiger de lui plus qu’il ne peut fournir. Veillez à ce qu’il n’étudie pas jusqu’à la fatigue. Servez-vous de sa grande imagination pour favoriser son apprentissage et améliorer sa mémoire (dessins, tables de rappel, palais de mémoire, coloriage magique…). L’émotivité dont il fait preuve à la moindre erreur vient du stress généré par le “surtout ne pas échouer”.

Pour débloquer l’action et les chances de réussite, il est important de nuancer la notion d’échec. Peut-être voudrez-vous lui expliquer que l’échec, comme le succès,  fait partie d’une alternative à chaque fois que l’on fait un choix dans la vie et qu’il faut l’accepter comme tel ? Utilisez son goût pour les habitudes en inventant des routines pour élargir petit à petit son champ d’action.

éducation selon les types de morphopsychologie

Il y a beaucoup de choses que les jeunes enfants ne peuvent pas comprendre, donc d’assimiler (les abstractions, les métaphores, les concepts généraux). Malheureusement, les exigences du système éducatif ne permettent pas d’attendre qu’il soient prêts.
Pour autant chacun peut, grâce à la morphopsychologie, essayer d’adapter l’apprentissage et l’éducation au type prédominant de son enfant ! En faisant preuve d’écoute, de bon sens, d’amour et en respectant sa nature profonde, apprendre devient pour lui un plaisir. 

J’espère que cet article vous a intéressé et qu’il vous a donné envie d’en savoir plus sur les multiples applications de la morphopsychologie. Merci au blog Plaisir d’Apprendre de m’avoir ouvert ses pages afin de vous faire connaître cet outil prodigieux de connaissance des êtres humains. Soyez vous-même et cultivez la différence. @+ Isabelle

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