Maintenant que vous avez fait le point sur l’école classique et que vous avez défini les raisons qui pourraient vous donner envie de pratiquer l’instruction en famille, je suis sûre qu’il y a plein de petites voix dans votre tête qui vous disent “oui mais…” (et si ce n’est pas dans votre tête, ce sont les autres qui vous les disent de vive voix). Les objections sont positives. Elles servent à vous aider à prendre la bonne décision. Dans cet article, je vais donc reprendre avec vous les principales objections que l’on entend, et je vais vous donner des réponses. A vous de définir, en fonction de la réponse, si l’objection tient toujours la route, ou non. Il n’y a que vous pour savoir ce qui est le meilleur pour votre enfant, faites-vous confiance 🙂

3ème ETAPE : Transformez vos craintes en objections

OBJECTION 1 : « Je n’en suis pas capable »

J’ai une bonne nouvelle : il y a de très fortes chances que justement, vous en soyez capable !

Je ne vais pas non plus vous mentir : les parents qui sont réellement incapables d’instruire leur enfant à la maison existent, mais ils sont loin d’être la majorité. Il ne faut pas se forcer si on ne sent pas du tout la chose faisable. Ne faites pas ça sous la contrainte !

Maintenant, sachez que vous n’avez pas besoin d’avoir un niveau scolaire spécial. Même si vous avez été un cancre à l’école, mais que vous avez le désir fort de transmettre à vos enfants et que vous aimez le savoir, vous y arriverez. Ne paniquez pas à l’idée de ne pas avoir “le niveau scolaire”. Vous n’avez pas besoin d’être calé(e), vous verrez les notions en même temps que votre enfant, et ça vous fera d’excellentes révisions ! Vous pouvez choisir le programme que vous voulez suivre ou le type de cours qui vous plaît. Progressivement et tranquillement, vous allez mettre en place de bonnes routines et de bons mécanismes, à la fois construits et souples, pour adapter le rythme à l’enfant.

Si vous avez un doute sur une manière de faire, ou si votre enfant vous pose une question à laquelle vous ne savez pas répondre, vous avez de nombreux outils pour vous aider et vous assister : des livres, Internet, des sites référents et bien sûr, www.plaisir-d-apprendre.com. Vous allez aussi transmettre à votre enfant ce réflexe de trouver la solution par lui-même, d’être autonome.

Quand vous faites le choix de démarrer l’instruction en famille, vous allez automatiquement tisser des liens avec d’autres familles qui font comme vous. Vous pouvez également rejoindre un réseau en cherchant sur Internet, dans votre région, ou en allant sur les forums.

J’ai entendu dire de la part de personnes qui ont beaucoup plus de recul que moi qu’ils ont constaté que « ce sont souvent ceux qui se disent les moins capables qui s’en tireront le mieux, car en fait, le même scrupule, qui les dissuade d’abord, les conduit à l’excellence ensuite. » (Cécile et Rémy du site l-ecole-a-la-maison.com). Selon l’adage, qui le veut, le peut. La motivation d’opter pour l’instruction en famille vous donne la capacité de concrétiser ce projet et de le vivre.

Retenez une chose : votre enfant n’a pas besoin d’un enseignant, mais d’une personne qui l’accompagne. Les ingrédients de base pour réussir un projet de vie de déscolarisation sont : l’amour, la confiance et la liberté (de la souplesse). Et pour certaines notions trop complexes pour vous mais que votre enfant veut approfondir, rien ne vous empêchera de faire appel à un répétiteur le moment venu, surtout si votre enfant le réclame. Un répétiteur est une personne compétente dans un domaine qui acceptera d’aider votre enfant dans son apprentissage.

OBJECTION 2 : « Est-ce que mon enfant le supportera ? »

Si vous avez bien suivi les 2 premières étapes, vous avez pu déterminer si votre enfant est heureux à l’école et si ses besoins sont comblés.

  • Si votre enfant n’aime pas aller à l’école, alors la déscolarisation lui fera le plus grand bien, sans aucun doute ! Le simple fait d’aller à son propre rythme, de le respecter pour qui il est, de lui faire redécouvrir le plaisir et l’enthousiasme, non seulement votre enfant le supportera mais en plus il en redemandera. Et ces choses que vous pouvez offrir à votre enfant, que l’école ne peut pas lui donner, effaceront vos erreurs de débutant(e) et vos tâtonnements.
  • Si votre enfant aime aller à l’école, mais que les raisons qui vous poussent à faire l’instruction en famille concernent plutôt le programme ou votre envie de le préserver sur le long terme, alors il se peut que votre enfant ait plus de difficultés à accepter la déscolarisation. Expliquez-lui les nombreux avantages pour lui : tu pourras te lever plus tard le matin, on fera plus de visites et de sorties… Expliquez-lui ce qu’il ne perd pas : il ne perd pas ses amis (qu’il pourra toujours inviter chez lui), il ne perd pas ses activités (sport ou autre)… Dites-lui que vous comprenez son point de vue et que vous savez que ce n’est pas facile pour lui. Ça ne sert à rien de lui dire qu’il sera content plus tard. Pour l’instant il est triste et il ne voit pas plus tard. En revanche, vous pouvez lui proposer une période de test (je détaille cela un peu loin)
  • Si vous comptez commencer l’instruction en famille dès son plus jeune âge, il se peut qu’il vous demande à aller à l’école. Il n’y a jamais mis les pieds, il voit tous les autres enfants de son âge y aller et ça lui donne envie. C’est normal. Dites-lui tout ce qu’il ne pourrait pas faire à l’école (apprendre couché par terre, faire la sieste pendant 3h, avoir des moments tout seul pour se calmer quand il en a marre du bruit…). Si ce que vous proposez à votre enfant lui plaît vraiment, alors c’est l’essentiel. Même s’il est curieux de voir comment ça se passe ailleurs (ce qui est normal), il est heureux d’apprendre à la maison. N’hésitez pas non plus à lui faire rencontrer d’autres enfants qui pratiquent l’instruction en famille. Il verra alors qu’il n’est pas seul. Si cela est possible, faites beaucoup de sorties qui le stimuleront.
OBJECTION 3 : « Ça coûte cher »

Il est très difficile d’être objectif sur la questions financière de l’instruction en famille. Il y a énormément de paramètres qui entrent en compte :

  • les frais pour le matériel : certains vont acheter du matériel neuf, d’autres du matériel d’occasion. Certains vont suivre un programme par correspondance (entre 400 et 600e l’année), d’autres vont faire leur propre programme. Certains vont beaucoup utiliser Internet et les livres de la Bibliothèque, d’autres achèteront tous les manuels. Certains feront des échanges avec d’autres parents, d’autres investiront chaque année dans du matériel neuf… En sachant que plus l’enfant est grand, plus les frais sont élevés pour le matériel.
  • les activités et sorties : ce deuxième pôle a également toute son importance puisque un des avantages à déscolariser son enfant, c’est de pouvoir apprendre autrement en faisant des visites et des sorties. On a la liberté de les choisir en fonction de notre emploi du temps, des envies de chacun et des apprentissages du moment. On peut également proposer des activités qui sociabilisent l’enfant et lui permettent de se réaliser au travers de choses qui lui plaisent. Il y a donc également un choix à faire, en sachant qu’il est possible de trouver des visites gratuites, du moins pour les enfants (en France, beaucoup de musées sont gratuits jusqu’à 18 ans). Enfin, on peut privilégier des sorties peu coûteuses voire gratuites, comme la forêt, la ferme d’à côté, le marché, observer un chantier de loin, demander à notre réseau (une tante potière, un ami musicien, un frère plombier,etc.) …
  • un salaire en moins : vivre sur un seul salaire est le cas le plus fréquent pour les familles pratiquant l’instruction en famille. Certaines familles changent de région pour vivre là où la vie est moins cher, et où un seul salaire suffit. Parfois, le parent qui fait l’école à la maison a une activité complémentaire (à temps partiel). D’autres couples vont se répartir l’école à la maison, et travailler tous les deux à l’extérieur mais à temps partiel. Dans certains cas, un parent (ou les 2) ont la possibilité de travailler à domicile et aménagent leur emploi du temps en fonction de leur activité professionnelle et de l’école à la maison. Parfois même, les deux parents travaillent, et préfèrent embaucher une assistante maternelle ou une baby sitter pour garder les jeunes enfants la journée, et accompagnent leurs enfants dans leurs apprentissages en fin de journée et les week-end…

Vous comprenez pourquoi je vous disais au début de ce paragraphe qu’il est difficile de vous donner une fourchette sur ce que coûte l’école à la maison. Certaines familles s’en sortent pour une centaine d’euros par enfant et par an, d’autres pour plusieurs milliers par enfant et par an. Tout est envisageable en fonction des moyens et des projets de chacun.

Personne n’attend de retour sur cet investissement, mais il est rentable sur bien des domaines, même si cette rentabilité ne se monnaye pas 🙂 Toutes les familles qui ont fait le choix de déscolariser leurs enfants l’ont fait par conviction : l’aspect financier implique de faire des choix et d’adapter son rythme de vie, mais comme le dit l’expression, « ça vaut le coût ». Et ce qui ressort, c’est que ce n’est pas un sacrifice, mais un partage : le partage des choses qu’on aime, le partage de nos connaissances, le partage de la vie !

OBJECTION 4 : « Je n’ai pas le temps de faire l’instruction en famille »

Si les deux parents travaillent à temps plein, ou si vous êtes seul(e) à avoir la garde de vos enfants et que vous travaillez à temps plein, alors il est très difficile d’envisager l’instruction en famille. Difficile mais pas impossible, je connais personnellement des mères seules qui ont leur propre entreprise et instruisent leurs enfants chez elles, en aménageant temps professionnels et temps pour l’enfant, avec des périodes où l’enfant est gardé (chez les grands-parents, chez une assistante maternelle, dans une structure puisque certaines écoles acceptent des enfants pour quelques demi-journées par semaine).

La seule solution est d’y réfléchir sérieusement, d’analyser les différentes possibilités et de voir comment il est possible de s’organiser différemment. Je vous le disais plus haut, certaines familles dont les 2 parents travaillent à temps plein, embauchent une personne pour la garde la journée et assurent l’accompagnement à l’apprentissage sur leurs temps libres. Il est alors possible d’engager une nounou qui fasse faire des activités dans la lignée des parents. Et quand les enfants sont plus grands, leur donner des activités à faire en autonomie.

Cette réflexion, personne ne peut la faire pour vous, ni même vous convaincre de l’un ou l’autre des choix possibles. Si vous avez vraiment à cœur de déscolariser votre enfant, si les étapes précédentes vous ont prouvé que vous devez vous lancer dans cette aventure, alors vous trouverez une solution. Ça ne veut pas dire que ce sera facile, mais vous pouvez trouver l’argent et le temps grâce à des choix judicieux.

Comme je l’ai dit dans le paragraphe précédent, il existe plusieurs façons de s’organiser, voici les schémas les plus classiques  :

  • 1 parent travaille à temps plein à l’extérieur (et ramène un salaire suffisant), et l’autre parent se consacre à l’école à la maison
  • 1 parent travaille à temps plein à l’extérieur (et ramène un salaire presque suffisant) et l’autre parent se consacre à l’instruction en famille et travaille à temps partiel pour ramener un complément de salaire
  • les deux parents travaillent à l’extérieur à temps partiel et consacrent tous les deux une partie de leur temps à l’école à la maison
OBJECTION 5 : « Est-ce que le niveau de mon enfant sera bon ? »

En règle général, il est même meilleur. Tout moment que vous pouvez donner à votre enfant lui profitera. Les bénéfices démarrent dès la première minute. Un enfant qui fait l’instruction en famille avance à son propre rythme et donc progresse plus vite.

Et ce n’est pas nouveau : l’apprentissage individuel ou en petit groupe favorise non seulement un meilleur niveau mais surtout un épanouissement immédiat et des progrès flagrants.

OBJECTION 6 : « Est-ce que mon enfant ne risque pas d’être asocial ? »

Il s’agit ici de la crainte qui ressort le plus lorsque l’on annonce à son entourage nos projets d’instruction en famille. Et pourtant, ce qui fait qu’un enfant se sociabilise, va vers les autres et aime être avec les autres, c’est qu’il se sent en sécurité. Un enfant sécurisé n’a pas peur de l’autre.

Et le sentiment de sécurité ne naît pas en contraignant un enfant à être avec plein d’autres enfants (du même âge que lui), ni en le forçant à être à l’aise avec des adultes qu’il ne connaît pas. Le sentiment de sécurité naît avant tout de sa relation avec ses parents. Une fois que l’enfant se sent en sécurité, il a une envie naturelle d’explorer, d’apprendre, de connaître, et de faire confiance aux autres (enfants et adultes).

En règle générale, un enfant déscolarisé est beaucoup plus ouvert sur le vrai monde. Alors que les enfants scolarisés ne fréquentent que des enfants du même âge, un enfant déscolarisé fait partie intégrante de la société et du monde adulte. Les enfants pratiquant l’instruction en famille sont souvent les premiers à aller créer le contact (avec les autres enfants mais aussi avec les adultes) et en toute aisance. Ils aiment également nouer des relations de toutes sortes avec des personnes de tout âge. Ils n’ont généralement pas la mentalité « je veux pas jouer avec les petits, tu es un bébé » et ne se sentent pas inférieurs aux plus grands. Au contraire, ils aiment la diversité. Pourquoi ? Étant plus que la majorité des autres enfants avec leurs parents, ils ont leur réservoir émotionnel plein. Se sentant en sécurité, ils osent plus.

Il faut également tenir compte du caractère propre de l’enfant. Certains enfants plus réservés de nature, auront besoin du soutien et de la confiance de leurs parents pour créer des liens avec d’autres. Ce sera alors plus facile lorsque l’enfant est déscolarisé, puisqu’il pourra créer tranquillement des relations (à 2 ou 3 c’est plus facile que dans une classe de 30), et sera stimulé en douceur par ses parents.

Permettre à son enfant d’avoir une vie sociale dès le plus jeune âge c’est très facile :

  • sortir au parc
  • aller à la médiathèque / ludothèque
  • faire des activités hors de la maison : sport, musique, arts, associations, scoutisme ou autre
  • emmener son enfant avec soi au quotidien : à la banque, faire les courses, à la poste…
  • voir la famille (les cousins, les grands-parents…), les voisins, les amis (qui ont des enfants ou pas)
OBJECTION 7 : « Mon conjoint n’est pas du même avis que moi »

L’école à la maison est un projet familial. Les changements sont importants pour tout le monde et même si on sait que cela bénéficie à toute la famille, le conjoint peut ne pas voir les choses de la même manière, et c’est son droit. Alors s’il faut retenir une chose c’est la suivant : n’essayez pas de le (la) convaincre !

Demandez-lui ce qu’il pense de la situation actuelle, au sujet de votre enfant. Quand il se sera exprimé, dites-lui simplement que vous réfléchissez à déscolariser votre enfant. Dites-lui que vous aussi ça vous fait peur, mais que vous y réfléchissez.

Voici une idée que je vous propose : vous allez demander à votre conjoint de réfléchir de son côté et de faire une liste de toutes les choses qui lui font penser que déscolariser votre enfant est impossible. De votre côté, faites une liste en deux colonnes : les points positifs et les points négatifs. Quand vous serez prêts tous les deux, partagez.

Peut-être que votre conjoint aura de lui-même trouvé des contre-arguments à ses craintes, ou aux vôtres. Sa réflexion peut se révéler apaisante (vis-à-vis de vos craintes) et peut vous présenter le choix de la scolarisation sous une forme que vous n’aviez pas envisagée.

Dans tous les cas, vous lui montrez aussi que vous êtes conscient(e) des chamboulements que l’instruction en famille pourrait engendrer. Mais vous avez des points positifs qui vous motivent quand même dans ce choix de déscolarisation. Échangez, discutez, confrontez… c’est le moment de dire tout ce que vous avez sur le cœur, et d’écouter son point de vue. Vous pouvez également expliquer les avantages que vous voyez pour vos enfants.

Précisez que l’instruction en famille permet aussi de recréer un lien familial, de restaurer une complicité et un esprit de famille !

Enfin, vous pouvez également proposer une période de test. Le fait de proposer un test permet à toute la famille de voir les choses dans le concret, et de vivre différemment la déscolarisation.

  • soit un test court : pendant les vacances scolaires par exemple
  • soit un test long : par exemple pendant l’été, ou durant une année scolaire (rien n’est irréversible, vous pouvez très bien instruire vos enfants à la maison pendant un an, et les remettre dans une structure scolaire pour le reste de leur scolarité…)

Testez et faites le bilan : pour vous, votre famille, vos enfants. Soyez conscient(e) des points positifs et négatifs. Vous pourrez ensuite en rediscuter en couple et prendre votre décision finale ensemble.

Attention peut-être que l’instruction en famille n’est pas faite pour vous !

Cette troisième étape a pour but de donner des réponses aux objections les plus courantes. Peut-être que les réponses apportées vous confortent dans votre envie de faire déscolariser votre enfant, mais peut-être aussi que ça vous stoppe dans votre réflexion. Sachez que l’instruction en famille n’est pas la solution idéale pour toutes les familles, et n’est pas possible dans toutes les situations. Toutes les familles ne souhaitent pas, ou ne peuvent pas se lancer dans ce genre de projet de vie.

Alors surtout, ne déscolarisez pas votre enfant :

  • Si vous pensez qu’il est impossible d’être équilibré et normal sans aller à l’école. Je vous invite alors à mettre de côté ces articles. N’y voyez là aucun jugement, simplement une invitation à faire les choses par conviction. Si votre conviction est à l’opposé de l’instruction en famille, alors c’est que ce n’est pas pour vous.
  • Si ce type d’instruction ne convient pas à votre enfant : l’instruction en famille n’est pas la réponse à tout. Certains enfants n’aiment pas apprendre seuls, n’aiment pas être accompagnés par leurs parents, et ne sont à l’aise qu’en collectivité, dans une classe. Certains enfants ont aussi besoin de sortir du cadre familial qui n’est pas sain pour eux. Il est alors possible de trouver un établissement dans lequel l’enfant sera bien, respecté et accompagné dans ses apprentissages. Si cet établissement se trouve loin, cherchez alors une solution du côté du co-voiturage. Et pour savoir si votre enfant est fait ou non pour l’instruction en famille, il n’y a qu’une façon de le savoir : essayez !
  • Si vous n’êtes pas capable de faire l’instruction à vos enfants : Essayez, et si cela se confirme alors ne vous forcez pas. Ne faites pas ça sous la contrainte ! Ce serait une mauvaise expérience pour vous, et pour vos enfants. Et ne culpabilisez pas. Il y a sûrement des choses que vous faites que d’autres parents ne pourraient pas faire. Cela ne veut pas dire que vous êtes moins bons, simplement que ce système là ne vous convient pas.

 

Avez-vous d’autres craintes que nous pourrions transformer en objections ? N’hésitez pas à les partager en commentaire. En revanche, si dans votre cheminement vous vous sentez poussé(e) à essayer, ou au moins à approfondir encore plus le sujet avant de vous décider, notre programme « 21 jours pour démarrer l’instruction à la maison » est fait pour vous !

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